Résidences passées - OPS
Entête Résidences passées
2 derniers artistes en résidence (2019-2022)
Résidences passées 2 - 3 colonnes (2012-2014)
Bruno Mantovani
Artiste en résidence en 2023|2024
Bruno Mantovani
Chef d’orchestre, pédagogue, musicologue, producteur d’émissions de radio, directeur d’institutions, Bruno Mantovani est avant tout compositeur. Né le 8 octobre 1974, il étudie au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris où il remporte cinq premiers prix, puis à l’Ircam pour le « cursus d’informatique musicale ». Ses œuvres connaissent un succès international dès 1995 et sont jouées dans des salles comme le Concertgebouw d’Amsterdam, la Philharmonie de Berlin, le Barbican center de Londres, la Scala de Milan, le Carnegie Hall et le Lincoln Center à New York, la Philharmonie de Paris et le Musikverein de Vienne. Fidèle à ses interprètes de prédilection, il collabore avec de prestigieux solistes (Jean-Efflam Bavouzet, Gautier Capuçon, Renaud Capuçon, Tabea Zimmermann), chefs d’orchestres (Marin Alsop, Pierre Boulez, Riccardo Chailly, Peter Eötvös, Philippe Jordan, Susanna Mälkki, Yannick Nézet Seguin, François-Xavier Roth), ensembles (Accentus, intercontemporain) et orchestres (Symphonique de Bamberg, Radio de Berlin, Symphonique de Chicago, National de France, Gewandhaus de Leipzig, BBC de Londres, Scala de Milan, Münchner Philharmoniker, New York Philharmonic, Orchestre de Paris, Philharmonique de Radio France, RSO de Vienne).
Il crée trois ouvrages à l’Opéra national de Paris : le ballet Siddharta en 2010 (dont une Suite, commandée par l’Orchestre, sera créée à l’automne 2023 dans le cadre de sa résidence), l’opéra Akhmatova en 2011 et Jeux d’eau, concerto pour violon et orchestre en 2012.
Parallèlement à la composition, Bruno Mantovani mène une carrière de chef d’orchestre, son répertoire allant des symphonies de Mozart jusqu’à la création actuelle. Il dirige régulièrement des ensembles de musique contemporaine (Accentus, intercontemporain, Lemanic modern ensemble, TM+) ainsi que les orchestres des jeunes d’Allemagne, Simon Bolivar de Caracas, national de France, philharmonique de Radio France, de la Radio de Francfort, de Paris, symphonique de Shanghai, philharmonique de Shanghai, et du Capitole de Toulouse. Il est nommé directeur musical de l’Ensemble Orchestral Contemporain à partir de janvier 2020.
Producteur d’une émission hebdomadaire sur France musique en 2014-15, il dirige le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris de 2010 à 2019, y enseigne ensuite pendant un an l’interprétation du répertoire contemporain et devient directeur du Conservatoire à rayonnement régional de Saint-Maur-des-Fossés en septembre 2020. Il prend aussi la direction artistique du Festival du Printemps des Arts de Monte Carlo à partir de mai 2021.
Alexandre Tharaud
Alexandre Tharaud, pianiste en résidence en 2021|2022
Découvrez un extrait du concert Lueur Boréale du 2 décembre 2021
Alexandre Tharaud interprète le concerto en la mineur d'Edvard Grieg sous la direction d'Aziz Shokhakimov
Avec plus de 25 ans de carrière, il est aujourd’hui une figure unique dans le monde
de la musique classique et un réel ambassadeur du clavier français.
Ouvert et curieux de tout, le virtuose collabore avec des metteurs en scène, des danseurs, des chorégraphes, des circassiens (tel Bartabas pour un Récital équestre, en 2006), des écrivains et des cinéastes (il joue, par exemple, dans Amour de Michael Haneke), ainsi qu’avec des musiciens qui n'appartiennent pas à la sphère classique.
Il débute l’étude du piano avec Carmen Taccon-Devenat – qui fut une élève de Marguerite Long – avant d’intégrer le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, où il obtient un premier Prix dans la classe de Germaine Mounier. Il se forme également auprès de Théodore Paraskivesco, Claude Helffer, Leon Fleisher et Nikita Magaloff. Soliste instrumental de l’année aux Victoires de la musique classique (2012 et 2021), il y est aussi primé dans la catégorie “enregistrement de l’année” en 2013, pour Le Bœuf sur le toit (Erato, 2012).
Il se produit avec la fine fleur des orchestres de la planète, et arpente des univers sonores très éclectiques, dont sa discographie est un fidèle reflet. Il enregistre en 2019 un florilège baroque regroupant des pages de Rameau, Lully, Couperin, etc. L'année suivante, il regroupera trois concertos contemporains d'Hans Abrahamsen, Gérard Pesson et Oscar Strasnoy sur un même CD.
Il grave également un opus où se côtoient les trois dernières Sonates de Beethoven (2018), un programme chambriste fait d’œuvres de Brahms (2018) avec son complice de toujours, le violoncelliste Jean-Guihen Queyras, ou encore Barbara (2017). Il y rend hommage à la chanteuse en compagnie d’artistes comme Camélia Jordana, Vanessa Paradis ou Jean-Louis Aubert.
Ses deux albums les plus récents se nomment Chansons d’Amour (2020) – réalisé avec la soprano Sabine Devieilhe et dédié à la mélodie française – et Le Poète du piano (2020), coffret de trois disques en forme de "best of”. Alexandre Tharaud enregistre en exclusivité pour Erato/Warner.
Celui qui est le sujet d’un film réalisé en 2013 par la cinéaste suisse Raphaëlle Aellig-Régnier (Alexandre Tharaud, le temps dérobé) publie deux livres : Piano intime (Philippe Rey, 2013) qui prend la forme de conversations avec le journaliste Nicolas Southon, et Montrez-moi vos mains (Grasset, 2017), une plongée dans sa vie quotidienne. Il y parle de son métier, dévoilant ses doutes ou ses convictions profondes.
Photo prise par Grégory Massat lors du récital du 10 décembre autour de Schubert et Chopin
à la Cité de la Musique et de la Danse de Strasbourg
Site officiel d'Alexandre Tharaud
Jean-Guihen Queyras
Jean-Guihen Queyras, violoncelliste en résidence en 2019
Longtemps soliste de l’Ensemble intercontemporain, Jean-Guihen Queyras a été lauréat du Glenn Gould Protégé Prize en 2002 à Toronto et a été distingué Meilleur soliste instrumental aux Victoires de la Musique en 2008. Aujourd’hui professeur à la Musikhochschule de Fribourg-en-Brisgau et co-directeur artistique des Rencontres musicales de Haute-Provence à Forcalquier, le violoncelliste est très demandé sur la scène internationale. Jean-Guihen Queyras joue un violoncelle de Gioffredo Cappa de 1696, prêt de l’association Mécénat Musical Société Générale depuis novembre 2005.
Il participe au cycle Chostakovitch avec une somptueuse interprétation du Concerto n°2 pour violoncelle sous la direction de Marko Letonja. Il donne également un concert de musique de chambre exceptionnel, entouré de huit membres du pupitre de violoncelles de l’Orchestre – l’occasion, notamment, pour Jean-Guihen Queyras qui eut la chance de travailler de près avec Pierre Boulez, de transmettre aux musiciens et au public sa connaissance et sa vision de Messagesquisse, œuvre interprétée pour la première fois à Strasbourg.
François Leleux
François Leleux, hautboïste en résidence 2017 | 2018
Reconnu à travers le monde comme le meilleur hautboïste de sa génération, François Leleux poursuit une carrière aux côtés des plus grands orchestres, sur les scènes les plus prestigieuses et dans des festivals internationaux de premier ordre, s'appuyant sur un répertoire allant du baroque à la création contemporaine. François Leleux s’est produit à la Philharmonie de Berlin avec le Deutsches Symphonie Orchester, au Konzerthaus Wien ainsi qu'avec les Symphoniker de Vienne, au Théâtre des Champs Élysées avec l’Orchestre National de France, au Lincoln Center, dans le cadre du Mostly Mozart Festival, etc. Il a joué sous la direction de chefs tels que Pierre Boulez, Mariss Jansons, Sir Colin Davis, Myung-Whun Chung, Daniel Harding, etc.
François Leleux a commencé le hautbois à l'âge de 7 ans au Conservatoire de Roubaix et a poursuivi ses études au CNSM de Paris qu'il a intégré à 14 ans seulement. Il y a obtenu à l'unanimité les premiers prix de hautbois et de musique de chambre dans les classes de Pierre Pierlot et Maurice Bourgue. Il est lauréat de nombreux concours internationaux tels que Munich, Prague, Trieste, Manchester, Toulon, ainsi que lauréat de la Fondation Européenne Juventus.
Outre sa carrière internationale de soliste, François Leleux prend également part à la vie orchestrale. Étudiant au Conservatoire de Paris, il fait déjà partie de l'Orchestre national de France comme supplémentaire remplaçant et de l'Orchestre des Jeunes de la Communauté européenne sous la direction de Claudio Abbado. C'est à 18 ans qu’il remporte le concours de recrutement de premier hautbois solo de l'Orchestre National de l'Opéra Bastille de Paris, sous la direction de Myung-Whun Chung, avant d'intégrer le même poste quatre ans plus tard au sein de l'Orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise de Munich, conduit par Lorin Maazel, puis par Mariss Jansons.
Professeur à la Musikhochschule de Munich, il est membre depuis 2003 de l'Orchestre de Chambre d'Europe, restant fortement attaché à la musique de chambre. Il est également membre de l'octuor à vent Paris-Bastille et prend part à de nombreux concerts avec l'ensemble Les Vents Français en France et en tournée à l'étranger.
François Leleux - Site officiel
Alina Ibragimova
Alina Ibragimova, violoniste en résidence 2016 | 2017
Invitée aux BBC Proms de Londres en 2015, elle y donne en quelques jours un concerto avec orchestre symphonique, un autre avec orchestre baroque et l’intégrale des Partitas et Sonates de Jean Sébastien Bach en deux récitals. À l’occasion de ces performances, le journal The Guardian écrira : « L’urgence et l’honnêteté du jeu d’Alina Ibragimova ont la curieuse capacité d’abolir toute distance entre l’interprète et l’auditeur. »
En tant que concertiste, elle fréquente les plus grands orchestres (Londres, Cleveland, Boston, Bamberg, Mariinsky de Saint Petersbourg) et les chefs les plus en vue (Gardiner, Gergiev, Haitink, Herreweghe, Järvi).
Comme récitaliste, elle se produit de longue date avec Cédric Tiberghien, pianiste que nous avons reçu en résidence durant la saison 2014/15. Nous les accueillerons tous deux pour un concert à l’Auditorium de la Cité de la musique et de la danse le 5 mars 2017.
Née en Russie en 1985, Alina Ibragimova s’installe en Angleterre en 1995 où elle étudie d’abord à la Yehudi Menuhin School et au Royal College of Music puis auprès de grands solistes que nous connaissons et apprécions à Strasbourg, Gordan Nikolić et Christian Tetzlaff.
Alina joue un violon vénitien d’Anselmo Bellosio daté de c. 1775.
Emmanuel Pahud
Emmanuel Pahud, flûtiste en résidence 2015 | 2016
Né en 1970, le flûtiste débute ses études musicales dès l’âge de six ans. Il obtient son Premier prix au Conservatoire national supérieur de musique de Paris (dans la classe de Michel Debost) en 1990, puis se perfectionne auprès d’Aurèle Nicolet. Il remporte les premiers prix d’importants concours internationaux et devient première flûte de l’Orchestre philharmonique de Berlin en 1993, un poste qu’il occupe toujours aujourd’hui (avec une interruption de 18 mois, terminée en avril 2002, principalement passée à enseigner au Conservatoire de Genève).
Soliste instrumental de l’année aux Victoires de la musique (1998), il donne de nombreux récitals et concerts avec des orchestres et des chefs de premier plan dans le monde entier, se produisant en outre dans un répertoire chambriste, sur les scènes des plus prestigieux festivals. En 1993, aux côtés d’Éric Le Sage et de Paul Meyer, il fonde le festival de musique de chambre Musique à l’Emperi (Salon-de-Provence).
En 1996, Emmanuel Pahud signe un contrat d’exclusivité avec EMI : de cette collaboration sont nés plus de vingt enregistrements. Mentionnons le très beau CD consacré à l’œuvre pour flûte et clarinette de Nielsen (2007), réalisé avec Sabine Meyer et l’Orchestre philharmonique de Berlin placé sous la baguette de Sir Simon Rattle, un fantastique album intitulé Around the world (2013) gravé avec le guitariste Christian Rivet (2013) ou encore le récent et passionnant Revolution (2015) regroupant des concertos datant de l’époque de la Révolution française (signés Gluck, Pleyel, Devienne et Gianella) et enregistré avec le Kammerorchester Basel et Giovanni Antonini.
Emmanuel Pahud s’est déjà produit avec l’Orchestre philharmonique de Strasbourg – sous la direction de John Storgårds – dans le Concerto de Jacques Ibert, en octobre 2009.
Cédric Tiberghien
Cédric Tiberghien, pianiste en résidence 2014 | 2015
Élève de Frédéric Aguessy et Gérard Frémy au Conservatoire national supérieur de musique de Paris, le pianiste y a obtenu son Premier prix en 1992, à dix-sept ans. Lauréat de plusieurs concours internationaux, il voit sa carrière est véritablement lancée lorsqu’il remporte le Premier prix du prestigieux Concours Long-Thibaud, en 1998.
Depuis, il se produit sur les plus importantes scènes de la “planète musique”, du Wigmore Hall de Londres, au Musikverein de Vienne, en passant par le Théâtre des Champs-Elysées à Paris.
À son propos, Michèle Friche écrivit dans Le Soir, en mai 2011 : « Virtuose hors du commun, Cédric Tiberghien peut aussi se métamorphoser en magicien au toucher impalpable, d'une limpidité poétique à donner le frisson ».
Le musicien est également passionné par le répertoire chambriste et collabore régulièrement avec le violoncelliste Pieter Wispelwey et la violoniste Alina Ibragimova.
Site officiel de Cédric Tiberghien
Retour sur la résidence de Cédric Tiberghien (pdf - 6.1MB)
Isabelle Faust
Isabelle Faust, violoniste en résidence 2013 | 2014
Partir à la rencontre des multiples facettes du talent d’un artiste et créer une proximité avec notre public et nos musiciens : tel est l’objet principal d’une résidence. C’est ainsi que, cette saison, nous accueillons la violoniste Isabelle Faust. Concertos (signés Beethoven, Bartók et Janácek), répertoire chambriste avec ses complices Alexander Melnikov (piano) et Jean-Guihen Queyras (violoncelle) dans un programme fait d’œuvres de Haydn, Beethoven et Schumann ou encore récital 100% Bach : le parcours proposé par la virtuose est excitant et permettra de découvrir toute la technique et l’émotion qui l’habitent ainsi que l’osmose qu’elle entretient avec son instrument, le Stradivarius "La Belle au bois dormant" de 1704 ainsi appelé parce qu’il "a dormi dans le grenier d’une villa allemande pendant plus de 150 ans. Il s’agit d’un instrument exceptionnel, puisque c’est un des douze Stradivarius au monde encore pourvu de son manche d’origine. Lorsque je l’ai essayé pour la première fois, la fascination a été immédiate" explique-t-elle.
La violoniste captive ses auditeurs par la rigueur d’une lecture reposant sur une connaissance approfondie du contexte historique des œuvres. Elle s’attache à le respecter le plus fidèlement possible, à la lumière des connaissances actuelles. Très jeune lauréate des prestigieux concours Leopold Mozart (1987) et Paganini (1993), elle fut invitée rapidement par les plus grands orchestres du monde : Berliner Philharmoniker, Orchestra of the Age of Enlightenment, Boston Symphony Orchestra ou encore NHK Symphony Orchestra. Son répertoire est très large, puisqu’il va de Bach aux œuvres contemporaines de Ligeti, Lachenmann ou Widmann. Son parcours lui a permis de collaborer avec des interprètes comme Claudio Abbado, Frans Brüggen, Mariss Jansons, Giovanni Antonini, Philippe Herreweghe ou Daniel Harding, avec lesquels elle se produit régulièrement. Avec son complice Alexander Melnikov, Isabelle Faust a réalisé plusieurs enregistrements pour Harmonia Mundi, dont l’intégrale des Sonates pour piano et violon de Beethoven (2010) et un opus dédié à Weber (2013). Elle a également gravé deux volumes de Sonates et partitas de Bach (2010 et 2012) et un CD Jolivet / Chausson (2006) avec le Deutsches Symphonie Orchester et Marko Letonja. Avec l’OPS, elle avait donné d’éblouissantes versions du Concerto n°2 de Bartók (2007) et du Concerto n°2 de Mendelssohn (2011). À son propos un critique du New York Times écrivit : « Le son qu’elle produit est passionné, nerveux, électrisant, mais possède aussi une chaleur, une douceur désarmantes qui dévoilent les ressorts lyriques secrets de la musique ». Elle joue le Stradivarius “La Belle au bois dormant” de 1704 (prêté par la L-Bank du Bade-Wurtemberg).
Dejan Lazić
Dejan Lazić, pianiste en résidence 2012 | 2013
Né dans une famille de musiciens à Zagreb (Croatie), le pianiste a grandi à Salzbourg, étudiant au Mozarteum de la cité autrichienne. Artiste très demandé sur la scène internationale, il joue avec des chefs aussi importants que Vladimir Ashkenazy, Kirill Petrenko ou John Storgårds.
Au cours de l’été 2011, il a fait ses débuts aux BBC Proms de Londres avec deux concerts : l’un avec le BBC Philharmonic Orchestra (avec sa propre adaptation pour piano et orchestre du Concerto pour violon de Brahms créée en 2009, qu’il avait enregistrée en 2010 avec l’Atlanta Symphony Orchestra et Robert Spano), le second avec le Budapest Festival Orchestra et Iván Fischer avec lesquels il a fait une tournée européenne. Très attaché à l’Asie, il a notamment joué avec le NHK Symphony Orchestra et s’est produit, en récital, au Japon et dans la Cité interdite de Pékin.
Parallèlement à sa carrière de soliste, Dejan Lazić est passionné par la musique de chambre. Récemment artiste en résidence auprès du Nederlands Kamerorkest, il a, entre autres, donné des récitals au Concertgebouw d’Amsterdam, au Queen Elizabeth Hall de Londres, au Prinzregententheater de Munich et au Kennedy Center de Washington. Dans l’abondante discographie du virtuose – qui enregistre exclusivement pour Channel Classics – remarquons une série intitulée Liaisons où il a, par exemple, rassemblé des pages de Carl Philipp Emanuel Bach et de Benjamin Britten.
Le musicien est également compositeur : son œuvre comprend des partitions pour piano, des pièces de musique de chambre, des créations pour orchestre ou encore des cadences pour des concertos de Mozart, Haydn et Beethoven.